Huit ans après le G8 de Gênes 2001, la justice condamne 10 inculpés italiens à de la prison ferme, entre 7 ans et 15 ans, pour « destruction et saccage » (en réalité, quelques vitrines brisées).
Au même moment, les flics et le préfet, responsables de la répression, des tortures de l’école Diaz et de la ...
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