Nous sommes plusieurs à alerter à propos du site "Palimpsao" dont on peut lire un article posté sur indyLille : https://lille.indymedia.org/spip.php?article35248

Qu’ils soient contre la valeur (sauf marchande de leurs bouquins), antiwokes, antilibéralisme (sauf contre le libéralisme éditiorial) et techno-critiques avec PMO dont Anselm Jappe est proche et de Renaud Garcia qui publie chez R&N éditions (Nouvelle Droite) ; grand bien leur fasse !

Palimpsao, au lieu de les accuser de truc sans preuve, c’est la sphère pourrie proche de feu Moishe Postone ( https://fr.wikipedia.org/wiki/Anti-allemand_(Allemagne) ) - fieffé natio étatiste de gauche donc flic, acédémicien donc comme toute la gauche institutionnelle - comme ils aiment en bon bourgeois se présenter avec leurs titres décernés par l’Institution à chaque confé, passage télé.

"Cet Etat palestinien ne sera pas un exemple éclatant pour d’autres nations. Néanmoins, je pense que ce devrait être un Etat indépendant, comme le Kosovo." (Moishe Postone, “Élu et exclu : La haine contre les Juifs en Europe”, Arte, 2017, 18min17)

Postone publié chez les néocons de Conspiracy Watch (Reichstad, Taguieff,...)

Stephan Grigat idéologue antideustche publie avec Postone dans Jungleworld

"Malgré les divergences des inspirations théoriques, la réception que fit la gauche antideutsch à cette théorie [sur l’antisémitisme de Postone], vulgarisée et simplifié conduisait à mettre au centre de l’analyse du capitalisme - ainsi que de l’anticapitalisme qui en procédait - non plus les contradictions sociales et la lutte des classes, mais l’antisémitisme considéré comme « idéologie », c’est-à-dire détaché, même s’il en résultait, des mécanismes économiques." (...) "La vulgarisation de la critique du fétichisme de la valeur conduisait en effet à assimiler l’antiaméricanisme et l’anticapitalisme à une forme d’antisémitisme secondaire. Et par contamination à porter le discrédit sur l’anti-impérialisme partageant cette dérive de personnification du mal, dans les Etats-Unis notamment. Au contraire du marxisme orthodoxe, la critique du fétichisme de la valeur partait par ailleurs de l’absence de sujets réels dans le capitalisme, et invalidait les catégories opposées de « dominés » et « dominants ». Le capitalisme serait dans cette optique un rapport impersonnel se déroulant dans le dos des hommes, tandis que le prolétariat en serait partie intégrante. Ces analyses menaient ainsi à l’abandon de l’idée de la révolution et du prolétariat comme sujet révolutionnaire. Tous les paradigmes de la Nouvelle gauche, hérités par la gauche radicale, étaient ainsi renversés, disqualifiés par la contamination de l’antisémitisme."(Anne Joly - La gauche radicale et l’idée de nation en Allemagne depuis la réunification - 2012)

"Il ne peut y avoir de critique de l’Etat d’Israël qui ne soit pas antisémite [...] La tâche des communistes anti-allemands n’est pas de s’identifier à Israël, car Israël n’est pas le substitut de la" patrie ouvrière ", mais d’expliquer pourquoi Il est nécessaire de se tenir derrière Israël et derrière Ariel Sharon sans condition : dans l’intérêt de l’État et de la société mondiale sans classes. " (Joachim Bruhn, Toute critique de l’État d’Israël est antisémite.)

Bruhn est antideustche comme Grigat.

"À partir des années 2000, le Mouvement antinational développe l’idée d’une mission historique de rédemption du peuple allemand à l’égard du peuple juif. Pour les antinationaux, le peuple allemand doit désormais défendre le peuple juif à-travers le sionisme, la défense de la politique de l’État israélien, et notamment la défense des colonies israéliennes implantées en Cisjordanie.

Le mouvement a notamment soutenu la guerre en Irak, qualifiant George W. Bush d’« homme de paix » ; les Anti-Allemands se sont également livrés à des manifestations faisant l’éloge du bombardement de Dresde, ou dénonçant la réunification de l’Allemagne considérée comme un « quatrième Reich »." (https://fr.wikipedia.org/wiki/Anti-allemand_(Allemagne))