Contrairement à ContreAttaque, le media gauchiste atteint de giletjaunisse patriotarde, nous vomissons toujours les profs et leurs pouvoirs de domination.

Nous n’avons que mépris profond pour l’institution scolaire où les profs règnent toujours en maîtres, en chefs de classe comme de véritables colonels et gendarmes dans leurs casernes. A la maternelle comme en primaire comme au collège et au lycée (pour celleux qui ont pu supporter le supplice scolaire jusque là), l’école a toujours été pour nous un forme de bagne où seuls la soumission et le travail étaient valorisés par la corporation enseignante. Pire : Iels rendent libres ! ("Heili Heilo !" tel est le credo des fonctionnaires scolaires de gauche comme de droite tant appréciés par ContreAttaque qui ressemble de plus en plus au ramassis de guignols rances de Charlie Hebdo.)

On a pas attendu ces clowns d’antifascistes totoritaires draguant le trotskard Philippe Poutou (candidat pro-prisons, rappelons le) pour foutre le bordel à l’école et détester ses murs autant que ses pion·ne·s qui nous surveillaient comme des maton·ne·s, autant que nos daron·ne·s qui nous obligeaient à aller s’enfermer et se faire humilier pendant des heures durant entre ces quatre murs semblables à ceux des cellules de prisons.

Nous sommes du côté des déserteurs et pas du côté des embrigadeurs scolaires comme les profs de ContreAttaques.

PROFS=BOURREAUX ! et c’est non négociable.

VIVE LA REVOLTE ! A BAS TOUTES LES TAULES TOUTES LES CASERNES TOUS LES COMICOS, COMMENCONS PAR LES ECOLES !

P.S. : On est loin d’être les premier·ère·s à cracher sur cette entreprise républicaine de dressage au citoyennisme et à la résignation salariale plus que centenaire. Ni les premiers à comparer ses fonctionnaires à des kapos. Quelques exemples parmi des milliers d’autres pour les amis de l’ordre (ContreAttaques et affidés) et leurs ennemis anarchistes :

(L’école c’est aussi les écoles de police et militaire. Pas de profs pas d’agent·e·s de la répression d’Etat.)