Bien que sans en avoir l’air, il m’avait invitée dans son lit, on s’était rencardé_es à la Tanière. Je ne savais pas du tout à quoi il ressemblait, juste je m’étais imaginé sa bite d’après les dessins que son ex faisaient des bites en érection de ses exs.

Donc allongée dans une baignoire sertie de 1000 trous en mode gloryhole, des trous avec des bites qui s’y enfilaient en rangs aussi serrés que ma chatte et mon cul, je me baignais dans ces 1000 bites bandées et du foutre en cherchant un gland particulièrement goulu de mes fesses : le sien.

Seulement à la Tanière, le costume étant de rigueur, impossible de reconnaître mon blind date à sa queue. J’abordais alors deux types, l’un après l’autre. Non ce n’était pas eux : leurs bites en érection n’étaient pas dans le catalogue de bites érigées par l’ex.

Mon blind date étant un anti-sexe, convaincu que l’acte sexuel est un acte de consommation de l’autre, alors que personnellement quand je baise, je fais un acte de désertion du capitalisme, je me demandais s’il allait consommer ma désertion du capital ou consommer le péché mignon en ma compagnie ?

Et comme le blabla pré-baise m’ennuie, je lui murmurais à l’oreille :

« Faisons l’amour avant de nous dire adieu ! »

Rêvée sa langue déserteuse caressant mon anus, ses mains posées sur mes hanches et bifle mes vieux tétons enduis d’amour, j’étais avec lui dans la baignoire aux 1000 bites, bien mieux que son lit !

Et alors ses 1000 bites jouirent au rythme de mon orgasme, directement sur mon coeur.